Poétique de la traduction chez Maurice Scève : La Deplourable fin de Flamete (Lyon, 1535) et les psaumes 26 et 83 (Lyon, 1542) - Université de Picardie Jules Verne Accéder directement au contenu
Chapitre D'ouvrage Année : 2020

Poétique de la traduction chez Maurice Scève : La Deplourable fin de Flamete (Lyon, 1535) et les psaumes 26 et 83 (Lyon, 1542)

Résumé

L’obscurité de la langue scévienne s’évalue par rapport à d’autres normes langagières. La notion de projet de traduction (A. Berman), appliquée à Flamete et aux psaumes 26 et 83, permet de mettre en relation, chez Scève, un examen de la langue, un rapport au fait littéraire et une inscription sociale. La langue scévienne est-elle un usage du français qui suspend son institutionnalisation comme langue royale (1539) ? Nous constatons du moins qu’elle déjoue les jargons cléricaux et universitaires.
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Dates et versions

hal-03508882 , version 1 (03-01-2022)

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Paternité - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification

Identifiants

  • HAL Id : hal-03508882 , version 1

Citer

Audrey Duru. Poétique de la traduction chez Maurice Scève : La Deplourable fin de Flamete (Lyon, 1535) et les psaumes 26 et 83 (Lyon, 1542). Michèle Clément; Vân Dung Le Flanchec; Anne-Pascale Pouey-Mounou. Maurice Scève. Le poète en quête d’un langage, 121, Classiques Garnier, pp.221-237, 2020, Études et essais sur la Renaissance, 978-2-406-09008-3. ⟨hal-03508882⟩

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